0,375 litre / 0,75 litre / 2,5 litres
La pièce
Notre peinture antirouille est fabriquée à partir d’un pigment minéral naturel de paillettes de fer, d’un noir brillant, qui se dépose sur le métal comme une cuirasse en empêchant l’eau de pénétrer. Celui-ci assure en outre une excellente protection contre les UV. L’huile de lin utilisée permet aussi une très bonne accroche sur le support.
A l'occasion d'un test longue durée réalisé par l'Institut "de la Corrosion" de Dresde, et cela pour une émission de Télévision allemande spécialisée dans le conseil technique. 33 des plus grandes marques actuelles de peintures antirouille conventionnelles utilisées aujourd'hui ont participé à ce test. Cette peinture antirouille avait déjà fait ses preuves autrefois : elle a protégé la tour Eiffel contre la rouille ainsi que des milliers de wagons et locomotives à vapeur. La rouille n'a pas changé, c'est la qualité des peintures antirouille qui s'est détériorée!
La qualité d'un traitement antirouille dépend essentiellement de la durée de son action. Il s'agissait ici de tester les différents produits sur un temps relativement long "toute une année". Afin de se rapprocher le plus possible des conditions réelles, le test a été réalisé sur des plaques de métal déjà rouillées, traitées avec le produit, exposées à l'extérieur et aspergées, à intervalles réguliers, avec une solution saline. Avant l'exposition, les plaques traitées ont été entaillées jusqu'au métal sur les deux faces. A l'issue du test, la surface rouillée à partir de l'entaille a été mesurée, et le coefficient d'adhésion du produit au métal a été aussi calculé. Les autres produits écologiques se sont aussi très bien comportés (en plus de Kreidezeit, on trouvait aussi Aglaia, Auro et Livos). La première place revient cependant à Kreidezeit.
Primaire antirouille pour les surfaces métalliques. A l'intérieur, une couche de peinture antirouille est suffisante. A l'extérieur, deux couches sont nécessaires avec, en cas de parties très exposées, deux couches de finition de lasure extérieure ou peinture à l'huile.
Huiles cuites de lin et de bois, térébenthine du Portugal (moins de 15%), paillettes de fer, acide silicique, talc, siccatifs sans plomb.
Les parties métalliques à traiter doivent être non traitées ou dérouillées soigneusement par ponçage ou à la brosse métallique. Le support doit être propre, sec et dégraissé. Nettoyer éventuellement à l'alcool ou à l’essence de térébenthine avant l’application.
Remuer soigneusement avant l’emploi !
Appliquer au pinceau en couche fine et régulière, en évitant les surplus. Sachant que les paillettes de fer sont très lourdes et ont tendance à se déposer, il est conseillé de remuer pendant l’utilisation. Attendre le séchage complet de la première couche avant de passer à la deuxième couche.
A l’intérieur une couche de finition (lasure, peinture à l’huile) n’est pas nécessaire.
A l’extérieur au moins deux couches de lasure extérieure ou deux couches de peinture à l’huile.
Hors poussière après 5 à 6 heures, deuxième couche après 24 heures à 20°c.
Environ 9m2 par litre
Teinte possible avec tous les pigments Kreidezeit (sauf le brun de Cassel, le noir de vigne, le violet ou le bleu ultramarine) : 200g de pigment au maximum par litre de peinture antirouille. Faire une pâte sans grumeau avec le pigment et un peu d’huile de lin, mélanger ensuite à la peinture.
Tout de suite après l’emploi avec de l’eau chaude savonneuse (savon de Marseille) de préférence. Pour des résidus tenaces utiliser de l’essence de térébenthine. Nous vous recommandons de lire notre fiche sur l’entretien des pinceaux.
Au sec, au frais, à l’abri du gel, un pot bien fermé se conserve 2 ans. Après 2 ans cependant les siccatifs perdent une partie de leurs propriétés. La peinture sèche alors beaucoup plus lentement. En ajoutant 25ml de siccatif pour 1 litre de peinture antirouille, on remédie facilement à ce problème.